Chaque jour qui passe fait grimper le macabre décompte du nombre de mort.es au Proche-Orient. Aux 1 400 victimes des attaques du 7 octobre menées par le Hamas, il faut chaque jour en ajouter des centaines et des centaines sous les bombardements incessants de la Bande de Gaza par l’armée israélienne, ainsi que des Palestinien.nes assassiné.es en Cisjordanie.

Les 10 000 mort.es côté Gazaoui vont bientôt être atteints, pour la moitié d’enfants. La jeunesse paie terriblement la vengeance aveugle du gouvernement d’extrême-droite israélien. L’incursion des troupes israéliennes, les coupures d’eau, d’électricité, d’internet, le bombardement d’infrastructures civiles telles que des hôpitaux, et le terrible nombre de blessé.es laissent présager un bilan humain catastrophique.

Le soutien "inconditionnel" apporté par certain.es représentant.es du gouvernement français à celui d’Israël n’est pas représentatif de celui de la population, ni d’ailleurs de celui de la communauté internationale. Le secrétaire général de l’ONU, António Guterres, n’a cessé d’appeler à un cessez-le-feu et au respect du droit international. Hier, 18 agences de l’ONU ont appelé ensemble à l’arrêt des hostilités : "Trop, c’est trop. Ceci doit cesser maintenant."

La FSU-SNUipp 64 soutiendra les mobilisations en faveur d’un cessez-le-feu au Proche-Orient et du respect du droit international, seuls préalables possibles au retour de la paix dans la région. A Bayonne, ce sont plus de 500 personnes qui ont répondu présent à l’appel de 30 personnalités de la société civile, dont des militants de notre syndicat, pour exiger la fin du massacre à Gaza.

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Gaza : pour la paix et le droit international !