Il ne faut pas s'arc-bouter sur la carte scolaire mais la redécouper, car aujourd'hui, elle a tendance à entériner la ségrégation spatiale. On ne saurait la défendre dès lors que certaines parents, dans les zones les plus défavorisées, se sentent enfermés. Les élus pourraient travailler à un redécoupage en camembert en lieu et place des cercles concentriques allant d'un centre chic à des banlieues populaire...